Une mélodie au hautbois puis à la voix de soprano, accompagnée par un chœur et le quintette à cordes : C’est mon idée première pour ce morceau. Pas de parole dans une langue particulière : seulement du chant vocalisé et murmuré. Les autres familles de l’orchestre entrent progressivement « en scène » au cours d’une variation allant crescendo. Le morceau se termine par le chant murmuré et vocalisé : Un chant de Paix pour toutes les langues , avec la seule force des notes de musique.